Averia 2 (un ptit décompte)

page 172 pour la fin de 2009

Haïku

Grande envie de composer un haïku.

Mouin.

J'imagine que ça veut dire que finalement on écoute mes conseils.

Le chat des neiges

Averia 2 (j'vous dois bien un décompte)

152 pages complétées.

Tout près 30 000 mots.

C'est cool, non?

Wordle.net

Voilà un condensé des mots les plus utilisés dans Averia tome 1.

Plus le mot est gros, plus on l'utilise souvent.

J'aurais bien aimé que le logiciel reconnaisse le mot «plus» comme un mot d'usage commun...

***

Qui est prêt à parier que «Myr» sera un peu plus gros pour le tome 2?

Photos

Photos du party pour le départ d'Érick en Afghanistan

Et une photo de Yan qui embrasse Érick, c'est toujours gagnant

The Beatles

J'ai appris Let it be à la guitare.

Maintenant j'ai mal aux doigts

:)

Vide et inutile

C'est comme ça que je me sens aujourd'hui.

Averia 2 (tout un décompte)

Ça va être 126 pages pour ce soir.

Et ça va être toute pour ce blog. J'ai comme mal au coeur *moue perplexe*

J'aurais ptet pas dû manger ce deuxième wrap au thon

Averia 2 (vous vouliez un décompte?)

116 pages.

Je sais qu'il est encore tôt, mais je suis sur l'ordinateur depuis 8h00 ce matin. Je crois que j'ai droit à une petite pause.

Averia 2 (le décompte continue)

102 pages de complétées.

***

ai écouté le film Brüno ce soir. Beaucoup de perplexité...

***

écoute en continu Echoes de Pink Floyd.

Averia 2 (encore un décompte)

Je ne tiens pas mes promesses.

91 pages. Ça fait 6 de plus.

Insomnie

ok...

Ça pas d'allure mal dormir de même. Ça fait deux jours que j'ai le sommeil difficile mais hier c'était pire que pire...

Pour faire court, je n'ai pas pu m'endormir avant 5 heures ce matin...

Non mais, c'est que j'ai 24 ans moi, j'suis trop vieux pour ne pas dormir.

Averia 2 (l'heure du décompte)

80 pages pour le décompte officiel. Environ 10 pages aujourd'hui.

Je reprends mon «retard». Sans doute grâce au soutien infaillible de Julie et aux encouragements et la confiance d'Annie, j'ai retrouvé mes moyens ce matin et j'ai fait cliqueter les touches du clavier dans la bonne humeur.

Je suis dans la phase d'euphorie.

***

Soirée toute spéciale

Mon imagination

Des bulles qui remontent à la surface. Des petites bulles de souvenirs qui éclatent doucement, libérant des petites joies, des odeurs, des sons, des larmes, des rêves.

Puis un grand trouble dans l'eau. Comme si on avait jeté un lourd pavé dans la mare. Et les bulles s'agitent dans tous les sens, entraînées vers le fond, à la suite de cette grande masse sombre qui s'enfonce. Et le mouvement s'accélère. La spirale se déchaîne. Les souvenirs éclatent, répandent leur contenu, diluent les images. Tout est entraîné dans une énorme vague. Tout se brise dans le torrent, tout se disperse. L'écho des rêves et des peines laisse échapper une longue plainte, presque muette en comparaison du son de la tempête qui arrache tout et qui disperse dans le néant les derniers restes de la mémoire qui agonise.

Quelques dernières images s'évanouissent dans le vent. Des visages, des enfants, ...

Des petites joies, des odeurs, des sons, des larmes, des rêves...

Et il ne reste plus rien.

***

J'aime laisser aller mon imagination quand j'écoute de la musique...

Averia 2 (toujours le décompte)

71 pages ce matin.

J'ai tout relu (et corrigé quelques fautes au passage) et c'est franchement pas mauvais. J'suis content!

Mouin...

Je fais le taxi pour ma mère.

Elle regarde sur la banquette arrière de mon char.

-Ah, tu es allé magasiné chez Canadian Tire?

-Ouais. J'me suis acheté de quoi pour dégeler mes serrures. J'veux pas que ça m'arrive comme... à peu près 15 fois l'hiver passé.

Court silence.

-Tu l'enlèveras de d'dans ton char si tu veux que ce soit plus efficace...

***

Ai reçu Haruki Murakami. Amazon m'a confirmé l'envoi la journée-même où j'avais décidé de canceller ma commande. Je trouve ça louche.

***

Averia 2 progresse encore.

60 pages

***

Alternance de doute et d'euphorie

Dernière petite pensée pour mes 23 ans

hum...

Une maudite chance que j'ai écrit un livre

Averia 2 (encore le décompte)

57 pages.

Je ne suis vraiment pas très tendre avec certains de mes personnages.

Je me sens un peu mal.

Croquis 2

Maintenant c'est Seki.

J'ai peut-être un peu trop «nettoyé» le croquis par contre. Je préfère quand c'est plus «sketchy».

Anyway...

Averia 2 (le décompte)

Compte officiel pour aujourd'hui: 48

Quand même, j'avance vite.

Croquis

Averia 2

39 pages ce matin.

Petite inquiétude, comme toujours. Va falloir que je me force pour mettre d'avant un conflit plus «science-fiction» au lieu de seulement visiter ce qu'il y a dans le coeur de mes persos.

Du gros fun

Julie a percuté un chevreuil hier soir.

Le char est magané.

Julie a rien.

Le chevreuil est probablement mort.

Attente

Manuscrits envoyés le 16 novembre.

Combien de temps va durer l'attente?

Songe

J'ai rêvé que je dormais.

Quelle folie tout de même, le monde onirique...

Célébrons

Je viens de terminer la dernière lecture officielle d'Averia.

Maintenant j'achète un groooooos paquet de feuilles et je vide ma cartouche d'encre.

Le plan? Envoyer tout ça lundi par la poste.

***

17 pages pour Averia 2 (en double-interligne, faut que je m'habitue)

C'est reparti

5 pages.

Youhou

La suite?

J'ai commencé sérieusement à travailler sur la suite d'Averia hier matin.

L'origine de cette soudaine inspiration? Le même type de pincement au ventre qu'en avril dernier. Une image-forte. Quelque chose qui vient me chercher.

Une image beaucoup plus précise que la dernière fois par contre. Peut-être parce qu'aujourd'hui j'ai des noms et des visages à mettre sur les personnages.

Sauf que là je bute un peu. J'ai de bonnes idées pour mes personnages, ce qu'ils ont fait depuis la fin d'Averia et comment ils évolueront. Ils ont tous leur quête personnelle. Mais il me manque toujours un conflit d'arrière-plan. Quelque chose pour unir le tout.

La quête de Seki dans le premier roman était intéressante car elle était directement liée au conflit qui enflammait Averia. Pour cette suite, j'ai beaucoup de difficulté à mettre mes personnages au tout premier plan de ce qui se passe sur la planète. Ils ont tous des conflits beaucoup plus personnels.

Bien sûr, ce que vivent mes personnages me passionne, mais je suis pas con non plus. Il faut que je garde des éléments de science-fiction. Il faut qu'Averia continue de vivre une transformation et il faut que mes personnages en soient la cause.

J'ai pas encore mis le doigt dessus, mais ça ne saurait tarder...

***

Edit: Laissez-faire, j'ai trouvé :)

Averia

Seki vit sur Averia, une colonie humaine qui a été conquise il y a 20 ans lors de la guerre avec les Tharisiens. Malgré cela, elle s'accommode bien de l'occupation. N'a-t-elle pas la chance d'étudier à l'université?

Sa soeur, Myr, ne partage pas son point de vue. Pour elle, la présence des Tharisiens sur Averia est une abomination. Le seul moyen de mettre fin aux injustices que subissent le peuple humain est de se rebeller contre l'envahisseur.

Mais voilà que Seki, intimement convaincue que la reprise des hostilités serait une erreur, se voit entraînée malgré elle dans un groupe de résistants.

Les choses tournent mal. Une bombe explose.

La spirale de violence s'accélère.

Seki, qui doit assumer un rôle qu'elle n'a pas désiré, arrivera-t-elle à se sortir indemne de l'insurrection qui gronde dans la Colonie d'Averia?

***

Jusqu'à nouvel ordre, c'est le résumé officiel de mon roman*

*édité une première fois une heure plus tard...

Seki et Myr (8)

Le troisième jet est complété!

Une nouvelle couche de profondeur.

Je crois que je m'approche dangereusement de la version définitive.

Je crois que Seki est maintenant beaucoup plus... humaine. Et j'ai même réussis du coup à rendre Laïka et Lanz plus intéressant.

J'arrive maintenant à 226 pages (incluant un tantinet de mise en page pour différencier les trois parties du roman).

Et 67 342 mots.

Trasher - 5 Canadien - 4

On a perdu.

Mais au moins j'ai pu chanter l'hymne nationale.

***

2 personnes aujourd'hui tentent de me convaincre de reprendre mes études. Étrange.

***

Maudit que j'ai du fun à regarder du monde plus passionné que moi regarder un match de hockey au centre Bell.

***

Citation de la semaine...

Seb: «Encore Duschesneau à marde pis sa clique de compagnies pharmaceutique de reptiles d'Annunaki d'criss...»

Le vent

Le vent, la paix, enfin un peu de répit...

Le téléphone sonne à 5h00 ce matin. C'est Érick.

-Seb pis JF sont parqués devant chez toi.

-Ok...

-Occupe toi-en.

-Cool.

J'm'habille, j'me mets une tuque, je sors. (Kaya aussi. Toute contente de faire son petit pipi bien tôt)

Seb vient me rejoindre.

-JF pis Érick se sont pognés.

-C'est grave?

-J'sais pas. Érick m'a appelé à 4h00 pis quand j'suis arrivé, y était temps en maudit que quelqu'un intervienne.

On a laissé JF dormir dans l'char jusque vers 8h00. En sortant du char il a failli tomber dans le fossé devant chez moi, il a uriné sur l'arbre du voisin avant de finalement venir s'affaler sur mon sofa.

Ils viennent de partir.

Il vente abondamment dehors. Je suis enfin seul.

Bon sang...

Halloween

Pas ce à quoi je m'attendais, mais au moins j'ai pu faire un peu de sparring avec une gamine de 7 ans.

On the verge of something

Trois beaux cons dans une parfaite trajectoire de collision avec le sol.

Musique

C'est la chanson que j'ai imaginé hier. J'aurais peut-être dû la pratiquer encore un peu avant de me filmer. La fin est plutôt moche.

Ça c'est la chanson «joyeuse» que je pratique depuis un bout déjà. Je la joue un peu différemment à chaque fois, mais je crois que ça a bien sorti sur cette prise-ci. La semaine dernière, le frère de Julie est venu avec sa base et on en a fait une version simplifiée. C'était cool ça.

Revoilà ma première chanson. J'ai laissé tombé la corde barrée et je la joue un peu mieux (sauf la fin, que j'ai raté sur cette prise!)

C'était ça...

Funny email

Voici le résumé de mon livre que j'envois à mon pote et ancien collègue Ian-Andrew...

«About the book I'm writing: it's finished! 220 pages of wonderous litteracy. The story so far: The tale of a young promising soul in a multinational corporation and the assholes he is working with. I hope you don't mind if one of my character is loosely based on you? Don't worry, nobody will recognize you. He is named Yan-André and is way too smart for anyone to believe it's you. And competent.And good-looking.»

Haha! Il va sans doute m'envoyer paître!

Hahaha!

J'viens d'en entendre une bonne!

«Lutter contre la procrastination? D'la marde, j'ferai ça demain!»

Bravo David Alexandre...

Neige

De la belle neige!

Criss...

Tiraillement

Je pense à mon roman et ça me tire dans le ventre.

Mais je n'ose pas y toucher encore. Je n'ose pas le relire.

En attendant, j'essais de m'occuper à penser à ce que je veux écrire ensuite. Je note des idées et je sens que je vais avoir de la misère à commencer mon prochain projet...

Retomber dans le piège de l'idée parfaite...

Masques

J'ai vu plein de choses.

Des choses qui m'ont plu.

Et maintenant je me demande si ce n'étaient là que des masques.

Seki et Myr (7)

Fin

219 pages

65 408 mots

...

Maintenant faut que je trouve un titre

Seki et Myr (6)

63 000 mots

page 128 sur 212

Ça s'en vient!

Histoire de tondeuse

Je suis passé par accident avec la tondeuse sur le plan de menthe que Julie a planté sur le terrain.

...

Ça sent vraiment bon la menthe fraîchement coupée, vous trouvez pas?

Seki et Myr (5)

60 000 mots

page 104 sur 201

et je trouve encore le moyen de m'amuser!

Même si j'ai dû changer encore le nom d'un perso. Hans est devenu Lanz.

Pourquoi j'ai changé? Pensez-y... Un pilote de vaisseau spatial, contrebandier en plus...

Le mien est peut-être un peu bedonnant du fait de son incarcération, mais y avait trop de risques qu'on se l'imagine avec la tronche d'Harrison Ford dans une certaine trilogie...

Au moins j'ai pu garder la même sonorité. Et j'ai su résister à l'envie de lui donner un nom de cosmonaute russe :) Style Iouri ou Nikolaï.

Musique

Ça fait des mois que j'écoute cette musique (pour relaxer, pour me concentrer quand j'écris, pour dormir) et je ne me tanne jamais. Le type a d'autres belles pièces, mais celle-ci est ma préférée d'entre toute.

Humeur de chien-chien

Souvenir lointain

-Flatte Tsuji de ma part.

-Tsuji? Je ne connais pas ce chat. Mais je serais très heureuse de le flatter :)

Kafka on the Shore

Que devrais-je lire maintenant, A., précieux guide mystique de la littérature?

:(

J'viens de déchiqueter une grenouille en passant la tondeuse.

Ses copines me regardaient avec beaucoup d'amertume lorsque je suis allé m'excuser dans le bassin...

Merde... j'vais m'en vouloir longtemps.

Mon genre de comédie

Le gars a fait des études en commerce.

Mais il travaille comme concierge dans son bloc appartement.

Et en plus il doit s'occuper de son père qui végète dans sa chaise-roulante.

Sa blonde qu'il n'a pas vu depuis un an revient de son stage en Allemagne.

Elle travaille maintenant dans une grande firme.

Et tout un monde semble les séparer maintenant.

Son copain fait chanter son père qu'il a vu se faire «masser» par un bel adonis.

Il se met lui-même à douter de son orientation sexuelle.

Et finit par s'abonner aux services du masseur à son tour.

Son frère sort de prison.

Il ne s'est jamais occupé de son pauvre vieux père.

Mais magouille pour hériter de son argent.

Oh, et il demande à son jeune frère (le gars du début) de mettre sa blonde enceinte.

Qui est toujours en prison.

Qui tombe en amour avec lui...

Très très drôle.

Pour vous donner un exemple, il y a une scène où la pauvre fille en prison se fait tabasser par les autres détenues. La plupart des autres scènes servent à mettre en relief le profond désespoir du personnage principal.

Pour vous montrer comment ça finit bien: le gars se trouve finalement une nouvelle job... comme concierge dans un plus gros bloc. Son frère se fait poignarder par le vieux père sénile. La blonde du gars se fait sacrer là par son amour d'enfance. Et celui-ci devient l'heureux papa d'un enfant dont la mère est en prison.

Mais selon la description du film dans l'horaire, c'est bel et bien une comédie.

Bon, mais comme c'était en espagnol sous-titré anglais, c'est ptêt juste que j'en ai pas saisis la subtilité de l'humour.

Un peu de magie

Le bassin magique des grenouilles

Je les ai un jour surprises à tenir une grande réunion de grenouilles. Elles étaient cinq à batrasser ensemble, toutes tranquilles.

Milestone

50 000 mots

Ça en fait des mots. Faut plus que s'assurer qu'ils soient bien agencés.

Seki et Myr (4)

Voici le texte (rédigé par Myr) qui ouvrira la deuxième partie du roman.

«Sortir de l'ombre

Il est normal d'avoir peur. Peu d'entre nous ont suffisamment de volonté pour rassembler assez de courage pour se dresser contre les injustices qui sévissent en ce monde. Il est normal de craindre les conséquences. Car les conséquences sont nombreuses et peu enviables: la clandestinité, l'emprisonnement, et peut-être même la mort.

Nous ne sommes pas tous appelés à être de grands guerriers courageux. Nous ne sommes pas tous taillés dans le roc qu'il faut pour envisager toutes ces conséquences néfastes et se dire tout de même: Il faut que je le fasse! C'est un lourd sacrifice que d'entreprendre une telle mission. La mission de poser un geste radical et significatif. Un geste qui deviendra un phare, un cri de ralliement pour la population.

Ce n'est pas notre responsabilité à tous de poser de tels gestes. Cependant, lorsque des individus extraordinaires prennent le risque de se découvrir et de se sacrifier pour notre cause à tous, il est de notre devoir de les appuyer.

Lorsque des gens uniques et exceptionnels soulèvent le fardeau pour nous tous, quand ils brisent la glace et nous ouvrent la voie, il est de notre devoir, à vous et moi qui avons la chance de ne pas avoir à être courageux, de suivre ces leaders.

C'est ce que Seki Jones a fait pour nous. Elle a fait l'impossible sacrifice du premier geste. Elle a donné le signal de départ. Elle a annoncé la grande vague qui engloutira nos oppresseurs.

Elle est finalement sortie de l'ombre.

Suivons-la dans la lumière.»

***

164 pages ce matin. Courage!

Maison, chats et chien

Maison et Patmobile

Maison encore

Kaya

Kaya qui dort

Tsuki aimerait bien manger mon lunch

Ninja et Tsuki qui font les chats

Songe

Je fais des rêves d'une clarté déconcertante ces temps-ci.

Des songes d'une mystérieuse vivacité.

Je devrais peut-être en tenir le journal.

Faudrait juste que personne ne tombe dessus...

Trop tard pour changer de nom?

Lyna c'est vraiment moche.

J'essais Laïka, pour voir (oui, le premier chien dans l'espace. Avec Myr, il ne manquera plus que quelqu'un s'appelle Soyuz [ou Baïkonour... ou Vostok. Comme ça j'aurais presque le programme spatial soviétique en entier]).

Vive ctrl+H !

Association vestimentaire

Me suis acheté un manteau y a pas longtemps. L'ai payé 20$ alors qu'il en valait cinq fois le prix. Mais je l'ai pas pris pour l'aubaine. Je l'ai pris parce qu'il me faisait penser à Kodos.

Alors j'me marre bien à me balader avec ce manteau sur le dos, à m'imaginer que je ressemble à Kodos. Et en plus il est confo, alors c'est la joie!

La liste

Dois aller faire l'épicerie aujourd'hui.

Voyons voir ce qu'il y a sur la liste...

-huile d'olive

-sacs à vidange

-thon

-tranches de fromage single

Ouais! La haute gastronomie encore cette semaine!

Ouin...

Faire des rénovations dans un bar pour un gars qui va tout sacrer ça là dans une semaine...

Endurer un autre gars qui a décidé de se donner le droit d'organiser mon temps comme il le voulait...

Fuck off...

J'fais l'hermitte, que je décide. J'écris mon livre et les autres mangeront ben un char.

This is the end, my friend

J'ai fini ma carrière chez IBM hier soir, à 16h12.

J'ai gardé les interactions d'adieu au minimum. Je crois que certains ont compris pourquoi.

Nouvel objectif: Réduire les dépenses de façon significative.

Une chance que mon prof de boxe semble m'offrir un rabais-secret, sinon je devrais également mettre fin à ma carrière de boxeur professionnel!

Mon côté geek

J'en reviens juste pas comment que son costume est écoeurant.

Elle a quelques autres jolis costumes ici.

Wouah, et elle est mignonne en plus! que Julie s'exclame.

Ouais, elle a le bagage génétique pour. Moitié Chinoise/Moitié Suédoise.

Break

Bon, j'suis bloqué depuis ce matin, alors d'la snouthe. Je vais regarder le match de Sharapova à la télé.

Edit:

Maria Sharapova a gagné (yé!) mais j'ai un petit pincement au coeur pour la perdante. Pauvre tite :(

What to do?

J'en suis à la page 47 (sur 157) et là je viens de tomber sur un os.

Pendant mon premier jet, j'ai sauté un immense bout entre l'explosion de la bombe et l'emprisonnement de Seki. Surtout parce que je voulais avancer le plus vite possible (pour contrer le découragement chronique et pour voir l'histoire prendre forme) et aussi parce que j'étais pas sûr si ce que j'avais prévu pour cette partie serait intéressant.

Si je résume, Seki se cache chez son maître pour éviter la traque des Tharisiens et pour ne pas suivre Kodos et les siens. Là-bas, elle finit par se faire trahir par son maître.

L'intérêt de cet interlude est simple, mais facultatif: la glorification progressive de Seki par sa soeur Myr à travers le réseau. Je dis facultatif, car je peux sans doute facilement glisser cette partie lors de l'incarcération de Seki. Mais la première option laisse également le temps d'une transition tampon entre: le Front de Libération d'Averia est un gang de petits étudiants idéalistes/intégration dans un groupe de résistance armé et organisé. Et ça peut laisser le temps à Charal Assaldion de décrire la spirale de violence qui débute dans la Colonie.

Mais encore là, en rallongeant un peu le récit de la prison, je peux peut-être tout intégrer là-dedans...

Sauf que, comme lors de mon premier jet, ça me tente pas plus qu'il faut de narrer ce passage (un peu vide) où Seki se cache. Mais en même temps, une partie de moi me dit que c'est peut-être nécessaire...

Période de réflexion...

Ha ha ha !!

C'est à ça qu'on reconnaît les bons acteurs.

Je détestais intensément le personnage que campait Riki Lindhome (quel drôle de nom) dans Million Dollar Baby. Et quelle ne fut pas la surprise de la voir sur Youtube, adorable comme tout, chanter des chansons hilarantes avec sa copine.

Lentement, mais sûrement

Au fait, je suis en train de réviser la page 32 de mon roman sur un total de 150 maintenant. Ce qui veut dire que depuis que j'ai mis la «dernière ligne» à la page 123, j'ai rajouté un total de 27 pages depuis le début de ma révision.

Mais bon, comme je botchais pas mal au début, c'est normal que j'avais énormément de texte à ajouter à tout ça. Passé la «vieille» page 26, je devrais logiquement avoir moins de remplissage à faire.

Je progresse bien. Mais je suis loin du 17 heures d'écriture par jour dont se vante Marc Levy (que j'adorais à l'époque de Et si c'était vrai puis que j'ai lentement appris à détester cordialement).

Fascination

Quand j'ai une fascination, je dois généralement la vivre jusqu'au bout.

C'est ainsi que j'ai pu dévorer tous les livres d'Erich Maria Remarque sur lesquels j'avais pu mettre la main au secondaire en quelques jours.

C'est ainsi que qu'il m'arrive fréquemment d'écouter une chanson sur «repeat» à l'infini.

Alors ces temps-ci, ma fascination se porte sur les covers de Smashing Pumpkin de cette jeune fille à l'air torturé. Cette fois-ci, cependant, c'est davantage la guitare qui m'intrigue plutôt que ses grimaces.

Spirale

(censuré)

...

Today is the greatest day I've ever known....

Mettez-y toute l'ironie que vous pouvez...

Today is the greatest day I've ever known

Je n'arrive pas à déterminer si c'est du fake ou pas.

La jeune fille (je dis jeune mais son profil dit qu'elle a 23 ans[ce qui est encore jeune mais en même temps j'ai 23 ans alors...]) joue cette chanson comme si une rage sourde grouillait en elle. À plusieurs reprises, j'ai eu l'impression que d'invisibles démons intérieurs lui torturaient les entrailles.

Et à la fin, son petit sourire faussé me fait l'imaginer penser: «À quoi bon?»

Est-ce un réel mal de vivre? Ou alors n'est-ce qu'une illusion calculée de sa part?

Elle chante le refrain 'Today's the greatest day I've ever know' avec tant d'ironie dans sa voix (surtout vers la fin). Je sais que c'est probablement l'ambiguité que recherchait Corgan à l'époque mais, il me semble que les grimaces de cette petite musicienne laisse paraître une réelle douleur.

Le pire c'est qu'elle est comme ça dans tous ses vidéos...

...

Le résultat reste le même

Donc, dans ton intérêt (et, selon toi, dans le mien aussi), ça veut dire adieu?

Drôle de mélange

(censuré)

Incompréhension

Je ne suis pas sûr de comprendre.

A., qui est invisible depuis quelques temps déjà, est réapparue hier soir sur msn. Mais elle n'a pas dit un mot.

De mon côté du silence, j'avais développé les théories suivantes:
-C'est une erreur de sa part. Elle m'a débloqué sans trop s'en apercevoir.
-Sa présence était un hasard. Ça a seulement adonné qu'on ne s'est pas croisés encore.
-Elle est apparue en guise de support moral

J'étais vraiment bien embêté hier soir. Je m'étais juré de respecter le choix de A et de ne pas intervenir dans son éventuel processus de renaître de ses cendres (comme le Phénix, vous savez?). Alors je me voyais bien mal faire le premier pas. Surtout si sa soudaine non-invisibilité n'était pas liée à un désir de prendre contact avec moi.

En conclusion? Je ne sais pas...
Taisons-nous? Bonne idée

Mésaventures

Julie s'est fait mordre par un chien hier soir.

Elle lui coupait les griffes et, sans avertissement, ...

Elle a deux jolies trous dans la joue gauche et son menton a été déchiré jusqu'à l'os.

De l'hopital de Cowansville, elle a été transféré à Sherbrooke. Je les ai rattrapé sur l'autoroute.

J'ai aidé le docteur à faire ses points de suture! (Moi qui suis sensé m'évanouir à la vue d'une aiguille...)

Elle va mieux mais bâtard....

Mea Culpa

J'imagine que c'est quand même un peu de ma faute.

Je vois toujours venir les signes d'avance. Je sens que j'énerve, que j'embête.

Et on me répond avec des claques de moins en moins subtiles au visage. Et moi, de façon plus ou moins consciente, je me dis: 'ah oui?' Et alors j'en rajoute. Et la situation se dégrade. Et moi, toujours à demi-conscient de ce que je suis en train de faire, je me dis: 'Ah bon! Ça peut aller jusque là!'

Mais rendu là il est déjà trop tard. Le mal est fait. J'ai trop alimenté le feu. Il faut attendre que les braises s'éteignent et souhaiter qu'il reste encore quelque chose sous les cendres.

C'est souvent comme ça que ça se passe.

Seki et Myr (3)

Je ne comprends pas le combat de mes semblables. Je ne vois pas comment on peut placer plus de valeurs un concept aussi vague que la liberté que dans la préservation de sa propre vie...

-Seki

Si nous perdons ce combat, il n'y aura pas de lendemain. De toute façon, vivre dans un tel lendemain ne m'intéresserais pas. Nous serons libres ou nous ne serons plus.

-Myr

***

Jai maintenant 138 pages à mon récit. J'ai écris la 'dernière ligne' à la page 135 et, depuis, je révise depuis la première page en ajoutant des passages narrés par Myr et en intégrant le journaliste. Oh, et en corrigeant abondamment mon texte. Bon sang que j'écris mal. En me relisant, j'en arrive presque à douter de la bonne fois de ceux qui m'ont critiqué jusqu'à maintenant!

M'enfin! Au fait, les citations que j'écris ici ne sont pas destinée à être insérées telles quelles dans mon texte. J'écris ces trucs pour me garder inspiré et pour donner le ton à ce que j'essais de créer.

Pat joue (très mal) de la guitare

Je m'amuse avec 2 accords et leurs variations et j'essais de finir avec un troisième mais c'est pas une réussite :)

Et sans mes lunettes j'ai l'air d'avoir 16 ans :[

La fin

J'ai atteint la 'fin' de mon roman il y a quelques jours! Quel soulagement!

Bon, c'est sûr que pour l'instant je trouve qu'elle est un peu 'flat' la fin, mais je vais évidemment la retravailler. Et puis l'insertion dans le récit de Myr en tant que narratrice secondaire va aider à rendre la conclusion plus intéressante.

Pour l'instant, je revise depuis le début en corrigeant mon style et en intégrant les passages de Myr. C'est con mais j'écrivais beaucoup mieux dans les dernières pages de mon roman que dans les premières.

Je vous en redonne des nouvelles!

Seki et Myr (2)

Le flambeau que tu portes te consumera.
La bannière que tu tiens cache le soleil...

-Seki

Cette peur aveuglante nous a tous enchainé.
Il est temps de briser la chaîne.

-Myr

Petite erreur

C'est ben plate, mais je vais devoir tout recommencer. J'étais tout prêt d'avoir terminé l'écriture brute de mon roman, mais j'en suis maintenant incapable. 115 pages su'l yable, comme on dit!

La cause: mauvais choix de narration. En faisant de Seki le narrateur, j'ai envoyé mon récit tout droit dans le mur.

La narration est lourde, maladroite et laborieuse. De plus, même si je trouve évidemment que mon personnage est intéressant, sa 'voix' n'a rien de bien spécial. Le fait que ce soit elle qui raconte l'histoire ne fait que m'allourdir. Sa caractéristique principale (son refus de se mêler au conflit qui grandit) ne justifie pas l'utilisation de ce type de narration. Je peux montrer la même chose en utilisant une autre forme de narration et, très certainement, me sentir plus à l'aise dans la rédaction.

Alors je recommence tout.

Go pour le deuxième jet.

Après tout, j'ai un plan très détaillé (115 pages!) pour m'aider à avancer rapidement.

Bien sûr, j'aimerais beaucoup pouvoir profiter des judicieux conseils de vous savez qui, mais il se trouve qu'elle est partie en vacance.

De plus, le fait qu'elle ne m'ait jamais glissé un seul mot sur la cinquantaine de pages que je lui ai envoyé me fait penser qu'elle a vraisemblablement préférée ne pas embarquer dans le navire, présentant qu'elle allait devoir le quitter précipitamment un jour ou l'autre.

Bon sang que j'aimerais avoir une opinion un peu plus articulée que 'c'est ben bon, continue'...

Seki et Myr

Comment peut-on appeler ansi de tout son coeur le feu, la destruction et la misère sur son peuple? En quoi une douleur, une cicatrice irréparable peut-elle justifier la mise à mort de tant d'innocents? Comment une âme peut-elle s'égarer au point de réclamer la souffrance de son prochain? D'où vient toute cette haine?

Pourquoi se détester autant?

-Seki, 20 ans

Comment peut-on être aussi aveugle? Aussi insensible au sort de ses semblables? Comment peut-on vivre tous les jours cette mascarade? Comment peut-on être témoin de l'extinction et de l'éradication de notre race et prétendre qu'il y a d'autres solutions que la rébellion? La Liberté est notre but. L'Insurrection est notre salut. La Violence est notre arme absolue.

Le Feu décimera nos ennemis ou alors nous périrons par le Feu...

-Myr, 14 ans

Mon genre de mauvaises blagues

Mercredi dernier, j'essayais de rejoindre du monde pour un BBQ que mon chum Seb organisait sur la terrase de son bar (qu'on essait de retapper depuis 1 mois déjà sans grands résultats).

J'commence par appeler Yan et il me raconte qu'il est fatigué et qu'il veut prendre la journée pour se reposer (comprendre: jouer à World of Warcraft). Il finit par me dire qu'il va peut-être venir.

J'en appelle d'autres. Ca répond pas. On a d'autres plans. On est pas en ville.

Facque je rappelle Seb et je lui dis que y a personne qui peut. Alors on annule tout. Alors j'me dis, bon, j'vais rappeler Yan. D'un coup qu'il passe faire son tour (fort peu probable) et qu'il n'y a pas personne.

Il laisse sonner et je tombe sur sa boite vocale. Alors sans réfléchir, et sur un ton de conversation des plus normals (et même un tantinet blasé), je lui raconte:

'Ouin ben Yan, c'est Pat. Pointe-toi pas au Tonic [le bar], ça vient d'exploser. Seb est brûlé au 3e degré. Facque on annule ça là. Oh, faut que j'te laisse l'ambulance arrive.'

Il me rappelle 5 minutes plus tard en panique totale. 'Quessé qu'y s'est passé? Seb es-tu correct? Ahhhhh!' Il n'a pas rit, mais il a l'air de l'avoir bien pris que c'était juste une blague.

Quand même, en y repensant, je le trouve un peu con... 1- mon ton de voix contrastait un petit peu avec la situation que je décrivais. 2- Il m'appelle chez moi à COWANSVILLE et croit qu'il est tout à fait normal que je sois également à GRANBY, sur les lieux de l'explosion avec l'ambulance.

Comme quand j'avais envoyé un message le 1er avril pour dire à tout le monde que Julie et moi ne sortions plus ensemble... Et après on m'fait la gueule pendant un mois... Utilisez votre cervelle un peu avant de vous fâcher, bon sang! (vieille rancune!)

Ça où j'ai le sens de l'humour un peu trop tordu...

La bulle se dégonfle

C'est au sujet de mon roman.

J'ai vraiment l'impression de stagner. Je suis tout près d'avoir écrit la fin de l'histoire, mais à chaque fois (lire: très peu souvent) que j'essais de m'y atteler, j'ai l'esprit ailleurs et je bâcle mon écriture. Pourtant, j'ai encore des idées tout plein et je visualise certaines scènes et j'ai des flashs pour améliorer certains aspects. Mais quand j'arrive pour écrire, ça se corse.

Maybe I've had too much on my mind lately. I'll get back to it when I'm done with the moving and stuff...

La suite de l'histoire de Truc-Muche ou 'Comment j'ai encore fait un fou de moi'

Vous vous souvenez de Truc-Muche? Mais si, un ptit effort voyons! C'était cette mignonne petite américaine sur Youtube qui était morte et qui m'avait lancé dans un long message sur la fenêtre qu'elle ouvrait vers un autre monde et blablabla.

Je ne vous ai pas raconté toute l'histoire. Quelque chose clochait encore dans mon enquête. Malgré les 'preuves' (le titre d'un vidéo sur youtube qui avait été supprimé et les messages mortuaires sur son compte), je ne trouvais absolument rien sur une prétendue fusillade dans un centre d'achat du Texas au moment de la mort présumée de Truc-Muche.

J'ai poussé mes recherches un peu plus loin et je l'ai découverte, bien vivante, sur son Myspace, à échanger des banalités avec d'autres adeptes de Cosplay.

Qu'ai-je fait alors, me demandez-vous? Bien évidemment! Je lui ai écris un message.

'Salut. On s'connait pas mais j'pensais qu't'étais morte.
Ça m'avait beaucoup touché.
Mais t'es vivante! Quelle joie!
Alors euh... bah profite de la vie.'

Bon, je paraphrase un petit peu, mais l'essentiel est là. Quelle fut sa réponse? Bah, évidemment, toute personne sensée aurait été terrifiée d'apprendre qu'un inconnu s'était donné tant de mal pour la retrouver. Mais peut-être que mon éloignement relatif (quelques milliers de km?) lui a permis de prendre un peu de recul car elle a eu une réaction bien dosée.

'Je vois que tu es une personne très sensible.
Oui, j'ai eu vent de cette blague stupide au sujet de ma mort.
Désolé que ça t'ait affecté. J'vais mettre un 'disclaimer' sur mon compte.'

J'peux pas m'empêcher de l'imaginer écrire sa réponse avec de grands yeux inquiets et de se murmurer 'Ne l'énerve surtout pas!'. Ne vous inquiétez pas. J'ai eu assez de présence d'esprit pour ne pas lui réécrire.

Bon, pourquoi j'ai écris tout ça? Sans doute parce que ça me semble très révélateur de la personne que j'étais (et que je suis peut-être toujours?) à cette époque. Comme une photographie. Ce qui me fait penser que je ne possède aucune photos de moi prises en 2009. Et je crois bien que les seules photos que je possède de 2008 sont celles où je suis déguisé en cowboys. Wow... J'espère que ce ne sera pas le seul souvenir que j'aurai de cette année-là! Non mais quelle image je vais finir par avoir de moi lorsque je serai très très vieux??

Petite Déprime ce soir

I don't know why but I'm feeling really down today

Avatar

Je prends pas de chance moi non plus.

Contrée imaginaire et plaisir en perspective

http://forum.aceboard.net/index.php?login=90596

Invitation alléchante

Je viens de recevoir une invitation pour me joindre à Badoo ( un site de réseautage semblable à Facebook ) qui m'informe que j'ai la chance d'adhérer ( parce qu'on m'a recommandé ) à ce club privé dont les membres sont minitieusement triés.

On m'informe aussi qu'il y a 30 000 000 de membres...

Je vais laisser passer ma chance, je crois

Opportunité

Je ne sais pas quoi faire (quelle nouveauté!).

J'ai reçu un courriel hier matin. G-Roy, un ancien collègue à qui mon boss avait promis dans le temps de l'engager mais avait plutôt abouti au CDC (quai de réception des produits chimiques), me suggère fortement d'envoyer mon CV à son boss car ils auront besoin de quelqu'un après le mois d'août.

Le fait est que j'ai effectivement de très bonnes chances d'être engager si j'applique: je connais déjà tous leurs systèmes, je suis familier avec le CDC (j'suis souvent pogner pour y aller le week-end), je serais backé par G-Roy et un autre ancien collègue qui s'est réfugié là-bas.

Et y a aussi le fait que, le CDC n'étantt plus gérer par IBM, ce serait une job permanente. Avec un meilleur salaire et des avantages sociaux.

Mais... à chaque fois que je traverse de l'autre côté pour aller chercher des produits chimiques qui sont en manque sur la ligne de production, je me promène dans le CDC et je regarde tous les barils aux liquides multicolores stockés un peu partout dans les airs et je me dis: "Ouin ben j'suis content de pas travailler ici!"

Voilà le gros problème. Je n'ai pas peur (même si G-Roy m'a déjà raconté comment si deux produits précis entraient en contact au CDC cela crérait un joli cratère dont le diamètre atteindrait plus ou moins 1km...). C'est que j'aime pas ça. Et ça ne m'intéresse pas les produits chimiques. Je m'occupe déjà de l'entretien des batteries de lift et j'ai l'impression que ça me picote partout quand j'ai terminé. J'ai réussi jusqu'à maintenant à me faufiler entre les mailles du système dans mon secteur actuel pour ne pas avoir à passer leurs stupides cours de manutention des produits dangereux.

Grrr..... l'attrait d'une job stable vs. faire de quoi qui m'intéresse pas.

Avoir une opportunité de ne plus s'en faire avec la maison à payer vs. travailler avec des produits dangereux...

I don't know what to do...

5 second films

Mon nouveau préféré...

Amy, Mi Nam et Chad

J'ai commencé à suivre le blog d'une Torontoise qui vit à Séoul en Corée et qui essaie de devenir la championne nationale poids-plume de boxe. Bon, pour lire ce qui concerne son entraînement faut aussi se tapper son histoire d'amour à deux-balles (elle a 28 ans mais parfois... ), mais elle a également un chien magnifique alors ça compense.

Et ma découverte de son blog coincide avec mon regain d'intérêt pour mes cours de boxes, qui eux, coincident avec le spécial d'été qu'offre mon coach (125$ pour les 3 cours au lieu de 280$). Alors, devinez ce que je fais de mes soirées?

J'ai commencé mes cours de boxe vers le mois d'aout dernier. J'étais arrivé au deuxième cours de la session, mais heureusement, j'étais arrivé en même temps qu'une batch de nouveaux, alors le coach a quand même pris le temps de revoir les bases avec moi. Mais, c'était tout juste, quand même.

Quand, sur les mitaines d'entraînement, je comprenais mal les mouvements ou les séquences à effectuer, il passait à un autre gars (ou fille) plus expérimenté et me laissait de côté. Au début ça m'énervait. Ou alors, il faisait faire des combinaisons compliquées (et impressionnantes) à d'autres mais ne me faisait pratiquer que les mouvements de bases.

Avec le temps, j'ai compris son approche. Et puis je suis trop compétitif (surtout avec moi-même) pour me décourager (ça dépend dans quoi...). Depuis le temps, je me suis grandement amélioré (faut bien, après tous ces mois d'efforts...). Alors maintenant, je me rends compte que c'est avec moi que le coach passe le plus de temps lors des entraînements et à chaque fois que je m'en rends compte, ça me mets un tout petit peu mal à l'aise. Mais après tout, je suis passé par là moi aussi. Qu'ils aillent au diable ;)

Depuis à peu près le début, je m'entraîne avec Chad.

Chad est un ptit jeune de secondaire 3 de ma grandeur. Il est gaucher (ce qui fait que ses coups viennent toujours de n'importe où).

Chad parle bien peu. Jusqu'à tout récemment, j'en étais encore à me demander s'il parle anglais ou français. Il est très timide et parle d'une voix tellement basse qu'on a de la difficulté à l'entendre.

Chad prend ça au sérieux. Il est là trois soirs semaine (ses parents doivent être riches) et fait également les cours de mise en forme optionnels. Je ne sais pas avec qui il s'entraîne les autres jours, mais quand je suis là, il s'arrange toujours pour me faire comprendre (sans un mot) que je suis son partner désigné.

Lorsque le coach, pour créer une dynamique de groupe, transforme un exercice en compétition, je sens qu'il prend plaisir à essayer de me surpasser. Et il y arrive souvent. Et moi je ne lui laisse pas de chance et il le sait. Et je le félicite et je vois bien que ça le remplit de fierté.

Bon! Et où voulais-je en venir avec tout ça? Je ne m'en souviens plus.

Alors je vous (me?) laisse sur ce vidéo de Amy à l'entraînement

...

(censuré)

Humour vestimentaire

Voici un chandail que je me suis procuré via internet.

Il a vraiment fait rire mes collègues de travail (ou en tout cas, ceux à qui je n'ai pas eu besoin de l'expliquer)

En voici un autre que j'ai acheté sur le même site.

Pour des raisons évidentes, c'est mon préféré!

Horrible indigestion

Les joies de travailler seul...

Ai été malade hier à l'usine.

J'ai cru pouvoir 'tougher' la run mais à 18h00 j'étais plus capable de me supporter. Quelqu'un est finalement venu me remplacer vers 19h00.

Maudite vinaigrette passée date...

***

Dans un autre ordre d'idée, je suis sur le point de rompre ma longue pause que j'ai prise dans l'écriture de mon roman. Faut bien se botter le derrière de temps à autres.

Courir

J'ai eu une semaine plutôt intense.
Lundi je suis allé à la boxe.
Mardi aussi.
Mardi il n'y avait que Chad et moi, alors le coach a pu se concentrer sur nous et j'étais assez brûlé quand je suis sorti de là!
Mercredi je suis allé faire du rollerblade avec mon chum Seb.
Jeudi on est allé faire le tour du Réservoir Yamaska. En courant! 20 km de course (ou pour être plus précis: de jogging de plus en plus lent et douloureux).
Je crois que c'était un peu trop. J'ai eu d'affreuses crampes dans les jambes. Faut dire que c'était presque un demi-marathon!

Le programme pour la semaine prochaine? Sûrement que de la boxe car il va pleuvoir.

S'inventer une vie

(censuré)

C'est beau un livre

J'ai reçu les livres que j'avais commandé!

Les amants du Spoutnik et Kafka on the shore, de Haruki Murakami.

En les sortant de la boîte, je les ai trouvés inexplicablement beaux.

Lire pour moi est un réel plaisir, c'est évident.

Je me suis demandé lequel des deux j'allais lire en premier et Julie a tranché en utilisant la très scientifique méthode du i-ni-maï-ni-maï-ni-mo. Ce sera les amants du Spoutnik.

Mais là il est à mes côtés (toujours aussi joli), mais je n'ose pas le commencer. J'ai peur que ça me distrait de mon projet.

Que faire?

Le va-et-vient des gens autours de moi

Jadis, mon ami David travaillait au Super C au département des viandes. Il y travaillait avec un gars qu'il avait délicatement surnommé Ti-père. Le pauvre homme, dans la quarantaine avancée, était devenu le souffre-douleur de David. Celui-ci lui faisait subir tous les mauvais coups au monde. Du genre: bourrer son casier de graisse, mettre de la graisse sur ses couteaux, cacher son lunch dans le congélateur (il a souvent dû réchauffer ses sandwichs au micro-onde parce qu'elles étaient trop dures), ...

Il n'y avait pas une semaine où David n'avait pas une mésaventures à nous raconter à propos de Ti-père. J'en étais venu à me rendre compte qu'une réelle amitié s'était forgée entre les deux hommes.

Un jour, David en a eu assez du Super C. Pour le soutenir, son ami Ti-père s'est empressé d'aider David à se trouver une nouvelle job. De mon côté, je me rappelle avoir demandé à David: 'Oui mais Ti-père? Tu vas pas le laisser tout seul?'

Et je me souviens que David m'avait alors répondu:
'Tu sais Pat, il y a des Ti-père un peu partout...'

À l'époque, la sagesse de David m'avait semblée abherrante. J'avais de la misère à me dire que les gens autours de nous sont remplaçables. Que ça ne changeait rien si les gens ne faisaient que passer dans nos vies.

Mais aujourd'hui, je me rends compte que j'ai beaucoup plus de facilité à laisser partir les gens autour moi. J'ai eu affaire à plusieurs départs de gens que je côtois ces temps-ci, et je réalise que ça ne m'affecte pas. Je me demande ce qui a changé en moi depuis ce temps où je m'attachais trop aux gens.

Peut-être que toutes ces histoires de moines zen ont finies par me mettre un peu de plomb dans la tête! (ou autour du coeur?)

***

110 pages, 33 000 mots

Je touche presque à la fin de mon récit. Mais j'ai perdu le rythme des beaux jours de 11 pages quotidiennes.

J'essais de m'empêcher de dresser mentalement la liste des choses à retoucher (et la liste est longue...) pour pouvoir me concentrer sur ce que j'ai à faire en ce moment.

Mon vieux chum qui revient de la prairie

Nicolas, un ami que je n'ai pas vu depuis près de deux ans, est revenu dans le coin pour quelques jours. Connecté sur msn, on chatte tranquillement pendant que je 'travaille'. Il me donne son numéro de téléphone pour que je puisse le contacter au courant de la semaine. Et moi j'me dis 'Ben kin! J'vas l'appeler tout de suite. Ça fait longtemps que j'ai pas entendu sa douce voix.'

Je compose, ça répond. Alors je gueule comme un perdu:
-NIIIIIIIIIIIIIIIIICOOOOOOOOOOOOOO !!!!!
-Y a pas de Nico ici...

Oups, mauvais numéro!

***

29 000 mots. Ça avance...

Sprint ou Marathon? partie 3

87 pages et 26 000 mots.

J'ai presque terminé le passage 'rough' dont je vous ai parlé hier. Me suis levé tôt ce matin pour passer à l'attaque de cette confrontation que je visualisais depuis quelques semaines. C'est probablement pas parfait, mais je suis tout de même très satisfait du résultat.

J'ai pas encore terminé mon histoire que déjà j'angoisse... Y a-t-il assez d'action? Est-ce que ça fait vraiment science-fiction? Tel personnage est-il crédible?

Il faut que je me calme. Je vais remédier à tout ça lors des prochaines couches...

update: 88 pages...

update: mal de tête...

L'Ordre du Dauphin

Comme je n'arrive pas à me botter le train pour continuer l'écriture de mon roman (stratégie d'évitement. Le bout qui s'en vient est captivant et s'approche de la confrontation finale que j'ai en tête depuis longtemps déjà, mais ce sera pas facile de l'écrire. Faut que ce soit bien fait!), j'ai décidé de vous parler de l'Ordre du Dauphin.

Le premier contact que j'ai eu avec cette société secrète remonte à quelques années déjà. Mon père avait acheté un petit sent-bon en forme de dauphin pour l'auto et l'avait accroché au rétroviseur du véhicule familiale. J'étais très surpris car mon père n'est pas du genre à s'afficher avec des trucs aussi 'gnangnan'. J'étais vraiment embarassé par la présence de ce petit dauphin bleu qui pendouillait dans l'automobile de mon père. Un jour, je le confrontai sur cette question.
-P'pa, c'est quoi c't'affaire-là?
-C'est un dauphin.
-Ok...
-Tu trouves pas ça beau?

Mon père me cachait quelque chose. Mais je ne savais pas quoi. C'est à partir de ce moment qu'un voile invisible se dissipa dans mon esprit: je voyais des petits dauphins bleus partout! Presque à tous les jours, je remarquais des véhicules avec des petits pendatifs identiques à celui que mon père avait accroché dans le sien.

Je venais de découvrir l'existence de l'Ordre du Dauphin ( ou les Illuminés du Delphinarium, j'ignore la terminologie exacte...). Cette société secrète possède des tentacules dans toutes les sphères de la société. Malgré mes nombreuses et attentives observations, je n'ai jamais pu déterminer la raison d'être de ce regroupement mystique. Je n'ai jamais pu percer leurs secrets. Mon père a toujours voulu éviter la question et a toujours affiché un sourire moqueur lorsque je lui faisais part de mes interrogations sur l'abondance de petits dauphins bleus en circulation.

Julie, pour me faire plaisir, m'a offert à son retour de Cuba un petit dauphin gossé dans le bois que j'accrochai à mon rétroviseur, signalant mon désir d'adhérer à cette mystérieuse organisation. Toutefois, depuis plus d'un an, ma demande est restée sans réponse.

Mais tout cela va changer! Je vais bientôt pouvoir désaltérer ma soif de savoir. Car j'ai été recruté par l'Ordre. Un matin, alors que je m'en allais travailler. Je vis qu'on avait remplacé mon petit dauphin de bois par un authentique dauphin bleu de l'Ordre! Je n'ai pas encore été contacté directement par les membres de l'organisation, mais ça ne saurait tarder.

J'ai aussi remarqué que Julie en avait un également. Le sien est vert. Lorsque je l'ai interrogée à ce sujet, elle m'a simplement informé qu'elle était d'un grade supérieur dans l'Ordre et que je devais cesser de lui poser toutes sortes de questions idiotes sinon on ne me révélerait jamais les secrets du Delphinarium...

Depuis ce temps, je patiente...

Semaine occupée!

Pour ceux que ça intéresse, j'ai vraisemblablement survécu à mon baptème de kayak sur rivière. Je m'en tire avec un bronzage douloureux et peu esthétique (je portais des gants et un t-shirts, je vous laisse imaginer le motif). En essayant de comprendre comment maîtriser mon bolide, j'ai accroché à peu près tous les arbres et toutes les branches qui traînaient dans l'eau. Maudit que c'est mal entretenu c'te rivière-là. J'ai réussi à faire chavirer mon embarcation deux fois. J'étais pas peu fier. Surtout que mon chum Érick m'avait dit que c'était presque impossible de chavirer avec ça. Sinon, j'ai bien aimé l'expérience!

***

79 pages et presque 24 000 mots derrière la cravate (que je n'arrive plus à enlever d'ailleurs. Le noeud est trop serré).

Le récit achève (en quelque sorte), mais je réalise que je suis pas au bout de mes peines. Il reste pas mal de job à faire! J'ai pas encore intégré mon concept de couverture médiatique et, évidemment, je vais devoir donner plusieurs couches pour gommer les imperfections de mon style.

J'vous en donne des nouvelles

Sprint ou marathon: partie 2

20 000 mots, 68 pages.

Grosso modo, j'en suis aux 2/3 de mon plan (incluant le méchant bout dans la rédaction que j'ai sauté. Va falloir que je remédie à ça). J'ai hâte de terminer l'écriture du récit afin de prendre un peu de recul et de voir mon histoire dans son ensemble. Je veux voir s'il y a des modifications importantes à apporter avant de commencer à donner les autres couches.

Le Combat Intérieur

Un soir, un vieil Amérindien parlait à son petit-fils du combat qui se livre à l'intérieur de chacun de nous. Il l'expliquait comme suit: 'Il y a deux loups en chacun de nous.

Le loup du Mal. C'est la colère, l'envie, la jalousie, la tristesse, le regret, l'avidité, l'arrogance, l'apitoiement, la culpabilité, le ressentiment, l'infériorité, le mensonge, l'orgueil, la supériorité et l'ego...

Le loup du Bien. C'est la joie, la paix, l'amour, l'espérance, la sérénité, l'humilité, la bonté, la bienveillance, l'empathie, la générosité, la vérité et la compassion.

Après y avoir réfléchi pendant un instant, le petit-fils demande:
'Grand-père, quel loup gagne?'

Le grand-père lui répond simplement: 'Celui que tu nourris.'

Les mystères du Web

Tappez: http://avisdexpulsion.blogpsot.com pour voir....

Est-ce une tentative du bon Dieu pour me ramener dans le troupeau?

Coup au téléphone

J'viens de passer un bon moment...

Vlà une demie-heure, mon chum PL m'appelle pour me confier une mission. Son père s'est partie une nouvelle compagnie, chez lui, spécialisée dans l'impression de média de grands formats (posters, bannières,...). Il me donne une seule consigne: je suis un anglophone qui a une compagnie de pornographie. 

Je prends en note différentes informations (le nom de son associée, le nom de la compagnie,...) et je prépare mon coup...

J'appelle 15 minutes plus tard sur le numéro de la compagnie et son père répond. Le jeu commence...

-Oui allo?

-Hi, this is Dan Cordova from SoftCore Productions.

-Euh... (dans sa tête, ca doit faire "Ah shit! un anglais")

-I got to you from... Isabelle? (entendre le nom de son associée le rassure. Il est en train de mordre)

-Ok, yes yes. I'm not good in english,

-Oh, i'm sorry, I don't know much french either. I just moved in the region recently.

-Ok...

-And I've heard you have a company named Média Extreme? (que je prends bien soins de prononcer Meeediâ Xtreemm)

-Yes.

-Well I would like to discuss business opportuniy with you, sir.

Il réfléchit. Il veut pas perdre cette opportunité mais en même temps il est pas assez vite en anglais pour me suivre. Il fait appel, comme je l'avais prévu, à la blonde de PL pour traduire.

-I'll pass you someone to... to translate.

-Ok... But are you sure we cannot follow through this discussion if I try to talk very slowly?

Il me passe Marie-Michèle. Ca fait partie de mon plan. Et elle est au courant de la joke. D,après le son, je comprends que je suis sur le haut-parleur. Je dois rester dans le personnage.

-Hi

-Hi honey, what's your name?

-My name is Marie-Michelle.

-That's a very cute name!

-Oh thank you!

J'entends Marc (le piégé) dire "demandes-y quessé qu'y veut!"

-Euh... what is it that you want?

-Well, I'm kind of embarassed to talk about it with you, but I'm in the porn business. I hope this is not a problem with Mr Tardif.

Elle traduit. "Ok... mais quessé qu'y veut?"

-No no, it's ok (l'appât du gain...)

-I'd like to be very clear about that: everything we do is legal. All our models are 18 years old or older.

Traduction

-And what kind of products does he offer?

-Large print formats...

-Can he do posters, banners?

-Yes!

-Ok, well, first of all I'd be interested in buying business cards

-Business cards, ok.

-You know, with basic informations: company name, phone numbers, e-mail adresses, websites... Is it cheaper without background images?

Traduction

-No, it's the same price.

-Perfect! That's awesome. Hmm... Mr Tardif does prints larger format, hey?

-Yes.

-What kind of format? How big can a poster be?

-It can be up to 6 feet long.

-Oh that's just great. I would be interested in having, you know, life-size prints of our models. Could this be possible?

Traduction "Y veut des images grandeurs natures? Oui oui... je peux faire ça..." (Hahaha! Pervers! J'insiste un peu...)

-I hope Mr Tardif isn't unconfortable about working on life-size images of our naked models. Some of them are really pretty!

"Non non, dis-y que c'est correct" (Dire que sa femme est à côté! Commençant à manquer d'idées, je passe à l'attaque finale)

-Could you remember me your name again, honey?

-It's Marie-Michelle.

-Oh, that's reaaaaly a cute name. And I must say you have a pretty voice too.

-Euh.... thanks...

-You know, we are always looking for models. It pays well.

-What?

-I mean, you could send me pictures of you, or even better, you could come to my office so I could see what you look like.

J'entends son père en arrière "Raccroche Marie."

-You're a freaking jerk!

Et elle raccroche.

Je rappelle quelques minutes plus tard. Son père répond, la voix peu accueillante.

-Mr Tardif... I think there must have been some misinterpretations...

-Yeah...

-Vous devriez peut-être parler à votre fils et à votre belle-fille!

Fou rires dans toute la maison à l'autre bout du téléphone et promesse de me remettre ça un de ces jours.

Ah... belle soirée!

***

58 pages et des nausées. Trop de temps passé devant l'écran. J'prends probablement congé d'ordinateur demain. Mais bon... comme j'ai eu de la misère à m'endormir hier car ça me démengeait trop de venir écrire, on verra bien si je vais tougher!

***

pensée pour le papy d'une amie

Marathon ou sprint?

J'ai écris 22 pages en 2 jours. J'en reviens juste pas.

Propos forts intéressants ce soir

J'viens de m'acheter un sac de chips dans la machine et, au moment où je l'ai vu tomber, j'ai réalisé qu'il était expiré de 5 jours. J'y ai pas encore goûté. Je m'apprête à le faire live devant vous.

J'ouvre le sac.

La couleur a l'air normale.

L'odeur est anormalement forte.

Je spécifie que les chips sont à la saveur de cornichons à l'aneth. Saveur qui ne me dit plus rien tout d'un coup.

Je commence à ne plus avoir envie d'y goûter.

Elles ont l'air belles mais ça sent vraiment fort.

Ok, j'en prends une.

Je la taponne un peu et elle a l'air consistante. Pas toute molle et chétive.

J'ai pas envie d'être malade...

Mais j'veux pas faire ma pâte molle et chétive non plus, alors j'y goûte. Maintenant!

J'sais pas trop... C'était amer. Dur à dire si c'était ce que c'est sensé goûter quand c'est frais. Faut dire que l'échantillon que j'ai goûté était petit... Mais bon! J'ai été courageux quand même! J'ai mangé (un bout d') une chip expirée de 5 jours!

Maintenant le reste du sac prend l'bord...

***

J'ai traîné une clée USB avec mon projet dessus et j'ai écrit quelques lignes. J'en suis maintenant à 26 pages. Quelle détermination de ma part!

Juste avant de commencer la rédaction 'brute' de mon roman, j'ai tout déballé l'histoire que j'avais dans ma tête à mon frère (qui est généralement très bon public). Ça avait fait du bien de tout raconter à quelqu'un. J'ai pu tester mon intrigue et son découpage. Je me rappelle que c'est toujours ce que je faisais avant d'écrire une partie de Donjons et Dragons. J'écrivais des idées, des feelings, des atmosphères sur papiers. Je laissais émerger un personnage ou une histoire derrière tout ça puis j'allais tout raconter à mon frère. Ça pouvait prendre toute une soirée alors que je construisais live (2e utilisation de ce terme ce soir) devant lui l'intrigue d'une histoire. Juste le fait de verbaliser mes idées devant lui m'aidait à structurer ma pensée. Mes idées prenaient littéralement vie lorsque je les laissais se libérer de vive voix. Mon frère ne disait pourtant pratiquement rien. Son non-verbal me guidait. Après toute une soirée à accaparer son temps, il finissait par me dire que ça allait être cool et moi je m'attelais à la tâche de mettre ça sur papier...

Anyway, tout ça pour dire que j'ai presque suivi le même processus avant de me lancer dans l'écriture de ce roman. À l'exception notable que l'intrigue était déjà complétée lorsque je lui ai exposé mon idée.

Journées remplies, corps endoloris

Depuis mardi que je passe mes journées au bar que vient de s'acheter mon ami. Pas pour boire comme un trou, mais bien pour le rénover, le trou. Y a de l'ouvrage comme c'est pas possible et je rentre chez moi avec tout plein de nouvelles douleurs, mais j'ai du fun. 

Et puis je suis rendu à 21 pages pour mon roman. J'suis assez satisfait! Il va me falloir donner plusieurs autres couches ensuite, mais j'ai hâte.

Oh, je vous avais dit que j'étais trop radin pour payer un nouveau plein d'huile à chauffage? En ce moment il fait 16 degrés dans la maison. Entre vous et moi, j'fais surtout ça pour que Julie se colle ;)

Sauf que là elle travaille et moi je gèle.

Encore une de mes idées niaiseuses...

Time

(censuré)

Perspective

« Notre jeunesse est mal élevée, elle se moque de l’autorité et n’a aucune espèce de respect pour les anciens. Nos enfants d’aujourd’hui ne se lèvent pas quand un vieillard entre dans une pièce, ils répondent à leurs parents et bavardent au lieu de travailler. Ils sont tout simplement mauvais. » - Socrate (470-399 av. J.-C.)

« Je n’ai plus aucun espoir pour l’avenir de notre pays, si la jeunesse d’aujourd’hui prend le commandement demain, parce que cette jeunesse est insupportable, sans retenue, simplement terrible. » - Hésiode (720 av. J.-C.)

« Notre monde a atteint un stade critique. Les enfants n’écoutent plus leurs parents. La fin du monde ne peut être loin. » - Prêtre égyptien (2000 ans avant J.-C.)

« Cette jeunesse est pourrie depuis le fond du cœur. Les jeunes gens sont malfaisants et paresseux. Ils ne seront jamais comme la jeunesse d’autrefois. Ceux d’aujourd’hui ne seront pas capables de maintenir notre culture. » – Ruines de Babylone, poterie d’argile, (1800 ans avant J.-C)

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Ai presque fini la lecture des Chroniques de l'oiseau à ressort. Ca va m'avoir pris beaucoup de temps. Je l'ai lu plus ou moins en deux traits. Mon rythme de lecture ayant beaucoup ralentie lorsque la fantaisie m'a pris d'écrire un roman de science-fiction.

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En parlant de ce projet, je dois dire qu'il avance assez bien. J'ai 15 pages du texte brut d'écrites. J'approche de l'élément déclencheur qui propulsera Seki (mon héroïne) dans une spirale de violence dont elle se serait bien passée.

Malgré tout, je n'avance pas assez vite à mon goût. Je garde le tout le plus simple possible. J'assemble le squelette et il y a peu de nuances. Souvent je me surprends à trop approfondir certains passages. Je ne dois pas faire ça. Je dois mettre par écrit l'intégralité de l'histoire et me laisser des indications pour les prochaines couches.

J'ai l'impression de pouvoir aborder plusieurs questions intéressantes avec mon histoire et mes personnages. J'espère être à la hauteur de ce que j'ai en tête.

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Ai passé beaucoup de temps hier soir à regarder les chats. Je les ai nourri puis je me suis couché par terre, à leur hauteur et je les ai observées. Je les ai trouvés si beaux. Au delà du 'onhhh, je veux le flatter'. J'ai dû les contempler pendant au moins une demie heure. J'ai tout observé: leurs mouvements, leur pelage, leur odeur, leur regard, leur posture, leurs interactions, leurs toilettes (j'ai détourné le regard lorsque la toilette est devenue trop intime).

Mon respect avait beaucoup grandi pour ces petites bêtes après ma longue contemplation.

Et à 5h00 ce matin, elles se sont joyeusement mises à courir sur moi...