dimanche 16 janvier 2011

Dépendance énergétique

Deux pannes de courants inexplicables.

Tout le quartier plongé dans le noir.

À minuit et quelque vendredi, alors que je délaissais mon manuscrit et que je pelletais l'entrée de la cour pour que Copine puisse se garer sans problème en revenant du boulot, tout s'éteint.

800 mots vaporisés dans le vide.

Ouch!

11 commentaires:

  1. Oh là là !! Triste tout ça.

    Petit bouton fort utiler : 3e position à gauche sur la barre d'outil...

    J'espère que les mots sauront retrouver leur place sur la page laissée blanche par leur départ.

    RépondreSupprimer
  2. Je l'utilise habituellement de façon compulsive :)

    RépondreSupprimer
  3. 2 solutions :

    Options de sauvegarde automatique : sauvegarder à toutes les... minutes.

    Un portable (passke y'a une batterie dedans).

    RépondreSupprimer
  4. Ouch ! Ça m'est arrivé ! Je compatis ! Et ensuite, on devient un/une maniaque du CRTL+S. Je crois que dès que je m'arrête plus d'une minute pour réfléchir à une phrase, j'enregistre mon document !

    RépondreSupprimer
  5. Bah, c'est pas si grave, j'ai confiance que de meilleurs mots les remplaceront. ;)

    RépondreSupprimer
  6. @Gen
    Je n'aime pas écrire sur un portable. Trop habitué à mon gros clavier d'avant-guerre ;)

    Question d'habitude, j'imagine.

    @Audrey
    Merci de ta compassion!!
    Le problème c'est que c'est habituellement ce que je fais. J'ai beau changé seulement qu'un mot, s'il faut que je quitte l'écran quelques minutes, je sauvegarde.

    Faut croire que ces mots devaient disparaître ;)

    @Sylvie
    C'est déjà fait. Et plus encore!
    21 000 mots hier matin.

    RépondreSupprimer
  7. 21000 mots !? Tu n'as pas mis un 0 de trop, non ? lol
    Je suis vraiment contente pour toi. 21000... Si tu n'étais pas vidé après ça, t'es pas normal. :D

    RépondreSupprimer
  8. Haha!
    Il fallait lire: j'ai franchi le cap des 21 000 mots :)

    Désolé, je suis imprécis de nature.

    RépondreSupprimer
  9. LOLOL
    Pas vite, la madame. À ma décharge, je tiens à dire qu'il manque quelques précieuses heures de sommeil à ma nuit dernière. Je ne suis donc pas en état de capter quelques subtilités que ce soit.

    RépondreSupprimer
  10. Je te pardonne. Je suis dans cet état quotidiennement, de 6h00 à 17h00. ;)

    Remarque, j'suis pas sûr que j'aimerais écrire le tiers de mon roman en une journée.

    Qu'est-ce que je ferais du reste de la semaine!?!

    RépondreSupprimer