dimanche 4 juillet 2010

Aveu d'impuissance

Quelque chose cloche.

Quelque chose cloche et ça se ressent dans mon humeur aujourd'hui.

Tharisia en est à 247 pages. À quelques pages seulement de la fin. Une vingtaine, une trentaine?

Je le trouve court. Ce n'est qu'un premier jet, mais je le trouve si court.

Tout est déjà écrit dans ma tête. J'ai tous les éléments. Mais sur l'écran, c'est laid et laborieux. C'est maladroit, c'est moche. Et ça ne sort plus.

Pourtant, hier, je le sentais. Je me sentais tout comme lorsque j'allais mettre le point final à Averia 2. Je me sentais comme je me sentais le 19 février (le blog, quel bel outil d'archivage). Je savais que le lendemain, ce serait terminé. Que la boucle serait bouclée.

Aveu d'impuissance.

Et je me sens seul, nul et triste.

Et j'avais besoin de l'écrire ici, malgré les yeux qui lisent.

2 commentaires:

  1. Certains des yeux qui lisent t'envoient un peu de soleil.
    Met ton texte dans un gros chaudron et laisse mijoter à feu doux, quelques jours.

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  2. Merci (à lire avec beaucoup d'emphase)

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