Seki et Myr (3)

Je ne comprends pas le combat de mes semblables. Je ne vois pas comment on peut placer plus de valeurs un concept aussi vague que la liberté que dans la préservation de sa propre vie...

-Seki

Si nous perdons ce combat, il n'y aura pas de lendemain. De toute façon, vivre dans un tel lendemain ne m'intéresserais pas. Nous serons libres ou nous ne serons plus.

-Myr

***

Jai maintenant 138 pages à mon récit. J'ai écris la 'dernière ligne' à la page 135 et, depuis, je révise depuis la première page en ajoutant des passages narrés par Myr et en intégrant le journaliste. Oh, et en corrigeant abondamment mon texte. Bon sang que j'écris mal. En me relisant, j'en arrive presque à douter de la bonne fois de ceux qui m'ont critiqué jusqu'à maintenant!

M'enfin! Au fait, les citations que j'écris ici ne sont pas destinée à être insérées telles quelles dans mon texte. J'écris ces trucs pour me garder inspiré et pour donner le ton à ce que j'essais de créer.

Pat joue (très mal) de la guitare

Je m'amuse avec 2 accords et leurs variations et j'essais de finir avec un troisième mais c'est pas une réussite :)

Et sans mes lunettes j'ai l'air d'avoir 16 ans :[

La fin

J'ai atteint la 'fin' de mon roman il y a quelques jours! Quel soulagement!

Bon, c'est sûr que pour l'instant je trouve qu'elle est un peu 'flat' la fin, mais je vais évidemment la retravailler. Et puis l'insertion dans le récit de Myr en tant que narratrice secondaire va aider à rendre la conclusion plus intéressante.

Pour l'instant, je revise depuis le début en corrigeant mon style et en intégrant les passages de Myr. C'est con mais j'écrivais beaucoup mieux dans les dernières pages de mon roman que dans les premières.

Je vous en redonne des nouvelles!

Seki et Myr (2)

Le flambeau que tu portes te consumera.
La bannière que tu tiens cache le soleil...

-Seki

Cette peur aveuglante nous a tous enchainé.
Il est temps de briser la chaîne.

-Myr

Petite erreur

C'est ben plate, mais je vais devoir tout recommencer. J'étais tout prêt d'avoir terminé l'écriture brute de mon roman, mais j'en suis maintenant incapable. 115 pages su'l yable, comme on dit!

La cause: mauvais choix de narration. En faisant de Seki le narrateur, j'ai envoyé mon récit tout droit dans le mur.

La narration est lourde, maladroite et laborieuse. De plus, même si je trouve évidemment que mon personnage est intéressant, sa 'voix' n'a rien de bien spécial. Le fait que ce soit elle qui raconte l'histoire ne fait que m'allourdir. Sa caractéristique principale (son refus de se mêler au conflit qui grandit) ne justifie pas l'utilisation de ce type de narration. Je peux montrer la même chose en utilisant une autre forme de narration et, très certainement, me sentir plus à l'aise dans la rédaction.

Alors je recommence tout.

Go pour le deuxième jet.

Après tout, j'ai un plan très détaillé (115 pages!) pour m'aider à avancer rapidement.

Bien sûr, j'aimerais beaucoup pouvoir profiter des judicieux conseils de vous savez qui, mais il se trouve qu'elle est partie en vacance.

De plus, le fait qu'elle ne m'ait jamais glissé un seul mot sur la cinquantaine de pages que je lui ai envoyé me fait penser qu'elle a vraisemblablement préférée ne pas embarquer dans le navire, présentant qu'elle allait devoir le quitter précipitamment un jour ou l'autre.

Bon sang que j'aimerais avoir une opinion un peu plus articulée que 'c'est ben bon, continue'...

Seki et Myr

Comment peut-on appeler ansi de tout son coeur le feu, la destruction et la misère sur son peuple? En quoi une douleur, une cicatrice irréparable peut-elle justifier la mise à mort de tant d'innocents? Comment une âme peut-elle s'égarer au point de réclamer la souffrance de son prochain? D'où vient toute cette haine?

Pourquoi se détester autant?

-Seki, 20 ans

Comment peut-on être aussi aveugle? Aussi insensible au sort de ses semblables? Comment peut-on vivre tous les jours cette mascarade? Comment peut-on être témoin de l'extinction et de l'éradication de notre race et prétendre qu'il y a d'autres solutions que la rébellion? La Liberté est notre but. L'Insurrection est notre salut. La Violence est notre arme absolue.

Le Feu décimera nos ennemis ou alors nous périrons par le Feu...

-Myr, 14 ans