J'ai piqué ça sur le babillard de Lucille il y a quelque temps.
Vous vous souvenez du vertige?
Voici une autre variante du jeu:
Cliquez ici.
Zoomez (et lisez, c'est très intéressant!) jusqu'à la plus petite échelle possible...
Puis remonter les barreaux (faites coucou à l'Humain, en passant, et tâchez de mémoriser sa taille...), et grimpez... grimpez... grimpez...
Quand vous en serez à admirer la Voie lactée (ou, quand vous aurez atteint 1 000 000 000 000 000 000 000m), faites l'effort de vous visualiser, vous, en train de lire ces lignes (ou, si c'est trop difficile, imaginez la Terre qui tournoie paresseusement, autour d'une des 300 milliards d'étoiles qui brillent dans notre galaxie).
Alors...?
Pour de meilleurs résultats, exécutez l'exercice au bureau, quand vous en avez marre de [insérer tâche abrutissante ici] ou lorsque votre manuscrit n'en fait qu'à sa tête (notez que je ne garantie pas un regain soudain d'énergie ou de motivation, au contraire! L'intérêt de l'exercice réside ailleurs).
Oh, surtout, ne vous arrêtez pas là. Continuez de dé-zoomer.
Et réalisez qu'au moment où vous lisez ces lignes, au moment où vos toasts brûlent le matin, au moment où vous soufflez les chandelles de votre gâteau de fête... Il y a toutes ces étoiles qui se meuvent dans l'espace, elles-mêmes d'insignifiantes pièces d'un assemblage gargantuesque, d'objets dont la taille dépasse l'entendement, de mécanismes qui gèrent des forces invraisemblables, monstrueuses, assujetties aux règles d'un univers dont l'envergure est telle qu'elle rend vaine nos prétentions d'humanoïdes microscopiques et... et...
Ouf! Mieux vaut s'arrêter ici!
Hum... j'ai dit qu'il s'agissait d'un jeu, pas vrai?
Et vous voulez savoir quel est le but...
Franchement, je n'en ai aucune idée.
dimanche 30 septembre 2012
mardi 11 septembre 2012
Chicane
On dirait que je suis en chicane avec mon blogue...
Je le boude depuis le 24 août, déjà!
Il n'y a pas de raison, je vous jure.
Je le boude depuis le 24 août, déjà!
Il n'y a pas de raison, je vous jure.
Il y a, en coulisses, les éternels doutes qui me tailladent, les remises en question qui me polluent la tête, les embûches littéraires qui me pèsent...
Mais ne vous en faites pas. J'encaisse le tout de façon stoïque.
De toute façon, à la maison, bien avant le manuscrit et tous les tracas... il y a une belle petite bulle de bonheur qui monopolise mon attention et qui se agite bras et jambes pour attirer mon regard.
Alors tout va bien.
***
Tiens, pour le plaisir, je vous laisse là-dessus:
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