dimanche 26 avril 2009

Time

(censuré)

1 commentaire:

  1. Oh, mon coeur, ne m'en veux pas de t'avoir ébranlé, ce n'est pas que j'y prends plaisir, sois-en certain. Mais à te parler, parfois, j'ai terriblement peur pour plus tard. Puis, je sais pas, moi j'ai la distance que d'autres n'ont peut-être pas pour te donner gaiement des coups de pieds au derrière. A partir de là tu en fais bien ce que tu en veux. Mais pense juste aux 40 prochaines années (22)
    Bisous

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