mardi 12 août 2014

Le 12 août, j'achète un livre québécois

Et un dernier petit mot, de moi.

Merci de tout coeur à tous ceux qui ont participé de près ou de loin au succès de cette journée.  Vous avez été, mes chers amis, exceptionnels. À ceux qui se demandaient «C'est bien beau cliquer sur J'aime, mais pour quel résultat?...» Eh bien voilà. Admirez!

Vous avez fait de cet événement quelque chose de vivant, de beau, de positif. Ce matin, comme hier et demain, d'ailleurs, j'envisage l'avenir de la littérature au Québec avec beaucoup d'espoir.

N'oubliez pas, si vous n'avez pas eu la chance de participer aujourd'hui, vous pouvez le faire un autre jour. Le 12 août peut se prolonger longtemps...

J'ai vu défiler aujourd'hui sur la page de cet événement des bouquins extraordinaires, une culture riche, variée. J'ai vu défiler des gens fiers, aussi. J'ignore combien de temps cet événement va rester actif sur Facebook. Il se peut que cette belle journée soit bientôt avalée par demain. Alors, en attendant de se réunir à nouveau, c'est à vous de continuer à faire vivre ce 12 août sur vos murs et parmi vos proches. Je vous passe le flambeau avec une grande satisfaction!

Pour ceux et celles qui désirent continuer de suivre mes péripéties, vous pouvez m'espionner sur ma page «Patrice Cazeault, auteur» (www.facebook.com/averia.tharisia). Ma collègue et amie, Amélie Dubé, se cache plutôt par ici : https://www.facebook.com/pages/Am%C3%A9lie-Dub%C3%A9/125658934295523?fref=ts

Merci de tout coeur, encore une fois. Vous avez fait rayonner la culture québécoise de mille feux aujourd'hui. Et les jours qui suivront...

De mon côté, je visse mon chapeau d'auteur sur ma tête et je retourne à mon clavier que j'ai beaucoup délaissé ces deux dernières semaines. J'ai des personnages à faire vivre, des mots et des images à laisser couler sur les pages.

On se reparle très certainement l'année prochaine. Ou dans les prochains mois, qui sait? J'ai espoir que, le 12 août prochain, quand je vous enverrai une nouvelle invitation, vous me répondiez: «Oh! Patrice! Excellente idée, comme toujours. Mais, tu sais, entre temps, j'ai découvert tel auteur... et tel autre... et j'ai dévoré le livre de celui-ci...»

En attendant, donc, je vous laisse sur ces mots qui me sont chers...

«À suivre...»