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Dehors, je chasse la neige à grand coups de pelle. Essoufflé, je m'arrête et je
À la maison, j'éclate de rire.
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Devant mon clavier, je me retrousse les manches.
Mon manuscrit d'A5 compte 93 000 mots. Je l'ai entamé le 21 janvier dernier.
Je le finirai avant qu'il ait un an.
Voilà comment je me sens. Prêt à escalader des montagnes. À les fracasser en morceaux. À les dévorer, s'il le faut. Mais je passerai à travers. C'est certain.
Ce billet me remonte le foutu moral (ou le moral foutu). Il me dit : t'en fais pas, tu va passer au travers, toi aussi. Merci, Pat, et Bonne Année. ;)
RépondreSupprimerTu as bien raison! La pensée positive est puissante. Emboîtons le pas vers nos montagnes, avec nos chaussures à crampons. Comme dirait Elvis Gratton: « Think big, sti! ». Un peu vulgaire, mais tellement vrai à mon sens. :)
RépondreSupprimer@Sylvie
RépondreSupprimerTout le plaisir est pour moi :)
T'es encore sous l'emprise des microbes, Sylvie? Ouf... Ce doit être cet air malsain que vous respirez en ville. Ici, personne de malade ;)
@Stephy
RépondreSupprimerJ'ai dû traverser un grand champ plein de vaches, par contre, avant d'arriver à la montagne. Aucune survivante... un vrai carnage... :S
Lâche pas, Pat. Tu vas finir par trouver un autre boulot. Ça m'a pris un an avant de m'y résoudre. Mais ça fait tellement de bien!
RépondreSupprimerEt pour la souffleuse... Mettons que cette année, on a trouvé que le 250$ qu'on met chaque année sur un contrat de déneigement a été justifié 100 fois! :P
Je travaille fort pour trouver autre chose, en tout cas! Quand j'aurai trouvé, je prévois organiser un méchant party... ;)
RépondreSupprimerPour la souffleuse, Copine avait élaboré un truc pas mal, il y a deux hivers. Quand je n'étais pas à la maison, elle sortait, poussait un peu la neige avec un air misérable et... deux minutes après, un des voisins retontissait avec sa souffleuse!
L'année passée, elle était enceinte... ça aurait pas fait sérieux qu'elle sorte pelleter par -20...